Référentiel
Fernand Gratacos
Un système -ensemble d’éléments liés- est pour les énergies liées à cet ensemble un « référentiel » absolu du système. En effet, les valeurs d’énergies, de masses, de formes et de temps, à l’intérieur du système sont invariables et cela quelle que soit la vitesse relative du système. Il en découle que le « milieu rayonnant » est donc, et dans les mêmes conditions, naturellement intégré dans tout référentiel. Cela implique que à l’intérieur de chacun des systèmes on retrouve l’invariabilité des valeurs : d’énergies, de masses, de formes et de temps…
Pour quoi dès lors que l’on observe depuis un référentiel supposé fixe un autre forcément mobile tout se complique ? Alors qu’il suffirait de « lier » l’un à l’autre pour qu’il n’y ait plus la moindre équation relativiste à établir. Il suffit d’un banal différentiel de vitesse entre deux systèmes et patatras du coup, touts les mystères de la physique de l’Univers apparaissent. Le temps ce dilate, et l’espace ce contracte, les règles raccourcissent, les jumeaux ne vieillissent plus ensembles et les chats deviennent morts vivant…
Quel est ce fabuleux pouvoir
qui se cache derrière un simple écart de vitesse ? Nous savons
qu’une vitesse implique obligatoirement une masse et un temps et qu’il
en résulte une énergie. Si la masse ne pose pas de problème,
le temps est quant à lui plus difficile à définir, on peut
même dire qu’il est indéfinissable et cependant dans une
certaine mesure maîtrisé. On peut remarquer que celui-ci, -contrairement
à la vitesse qui peut varier constamment- est d’une remarquable
stabilité ; la durée d’un évènement produit
il y a des milliards d’années nous parvient sous la forme d’une
sinusoïde dont la durée est celle acquise à sa naissance.
Hélas ce « fossile d’univers » sera affecté
lors de sa mesure par la concomitance des événements cumulés.
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