e = mc² - e
= hv
Fernand Gratacos
Ces deux formules, sœurs jumelles de la physique moderne -relativité et quantique-, apparaissent ici avec toutes leurs contradictions. En effet, si la formule de Einstein est vraie, celle de Planck est fausse et vice versa. Alors ! Planck, avec la constante qui porte son nom, ce serait-il trompé sur la véritable nature et l’origine de l’énergie du quanta h ? Et Einstein n’a t-il pas confondu célérité et vitesse d’action d’un phénomène vibratoire, qui modifie sans les déplacer les milieux traversés ? Ces questions méritent d’être posées car de la réponse dépend en partie la validité de la physique contemporaine.
Planck nous dit : h a la valeur d’un quantum d’énergie, il est -le quantum- la constante universelle de l’énergie. Quelques années après, Einstein dans sa thèse démontre la relation qui unit la masse et l’énergie ; les USA avec leur barbarie naturelle -héritage du génocide des peuples indiens, de l’esclavage, de la pègre et du crime… en feront une démonstration criminelle en assassinant en une fraction de seconde des centaines de milliers d’humains.
Donc, si la valeur de l’énergie définie par la lettre
symbole h
est sans contestation possible rigoureusement exacte, on ne peut pas en dire
autant de son origine. En effet une énergie quelle quelle soit, a pour origine la
durée d’une action sur une masse. Or la constante de l’énergie de Planck
est -dans la théorie actuelle- totalement dépourvue de vecteur de masse et
de temps. Si tel est le cas et que cette hypothèse vienne à être confirmée,
cela équivaudrait à rendre l’équation de Einstein caduque.
Peut on pour autant dire que est exsangue de tout
reproche ? Une réflexion sur les
phénomènes de l’énergie rayonnante pourrait nous révéler, non pas une erreur de
fond mettant en cause le principe de cette formule, mais une erreur d’appréciation
qui en modifie profondément les interprétations que l’on peut déduire des
valeurs obtenues. Si Einstein a considéré que le lien qui unit l’énergie et la
masse a pour origine c
la célérité de progression de l’onde électromagnétique dans le vide, le vecteur
c n’est plus valable
dans le cas où le coefficient du milieu transmetteur de l’onde produit un ralentissement de la célérité de
celle-ci. En effet, on peut remarquer que l’énergie d’une onde ne dépend que de
sa fréquence et donc du temps :
Le temps t de la fréquence v est donc invariable, et cela quelle que soit la célérité et donc la longueur de l’onde qui en dépend.
On peut donc dire que la
formule de Planck est une
équation empirique qui attribue, à tort,
l’énergie e de l’onde à la
fréquence v.
Pour que l’interprétation mathématique qui traite de la physique de l’énergie
rayonnante soit correctement interprétée, la formule de Planck :
doit être remplacée par l’équation :
ou : t = T/v ; T = unité de temps ; v = fréquence.
Ainsi définie la valeur de l’énergie e d’une onde attribue bien à l’action énergétique de cette onde le vecteur durée. On voit donc que l’énergie d’une onde est bien -comme toutes les énergies- tributaire d’un temps. A l’évidence cela démontre que le « quantum » d’énergie h de Planck résulte non pas d’un mystérieux « grain d’énergie » mais bien d’un grain de masse. Ce grain de masse soumis à l’agitation pendulaire durant la durée t de l’onde en crée l’énergie. Il est d’ailleurs inutile de se demander quelle peut être la valeur de la masse m de ce grain ! Elle est tout naturellement incluse dans la formule même de Planck sous la forme logique qui unifie la masse et l’énergie -e = mc²- définie par Einstein soit :
Sachant par une longue expérience de plus d’un siècle que h possède une valeur d’énergie constante, on en déduira que la masse m est une constante mais vu sa dimension, la substance qui la compose ne peut pas être d’origine baryonique. Notons cependant que l’inverse serait tout à fait logique et ne doit pas être négligé.
Ainsi définies, les équations les plus célèbres de la physique ne sont plus contradictoires mais en parfaite conformité avec la théorie de Einstein sur l’unification de la masse et de l’énergie. Mais pour cela, il faut avoir la volonté d’envisager que les substances qui composent et régissent l’univers ne sont pas exclusivement la matière baryonique.
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