Propagations et variation de l’onde

Fernand Gratacos

L’expérience montre l’invariabilité de la fréquence -donc des ondes- dans un milieu de propagation inertiel et cela quelle que soit la vitesse relative ou absolu de ce milieu. Cela peut être interprété comme le fait qu’il n’y a pas d’interactions entre l’onde et le milieu propagateur, voir pas de milieu du tout. Cette hypothèse est difficile à soutenir dans la mesure où c la célérité de l’onde dépend de la Permittivité électrique et de la Perméabilité magnétique du vide qui sont les constantes universelles du milieu de propagation des ondes.

Quelles que soit les causes de ce paradoxe, nous remarquons que seul un mouvement, aussi infime soit il, a pour effet de faire varier la fréquence prélevée dans un champ d’ondes. Mais cette variation n’influence absolument pas le champ magnétique du système original qui nous l’avons vu est immuable. Partent de ce principe, on peut supposer que tout rayonnent garde indéfiniment les caractéristiques acquissent dé son origine quelles que soient les « embûches » rencontrées durent tout son existence. Cela veut donc dire que toutes mesures où toutes autres interactions effectuées sur un champ d’onde ne donnent pas la valeur réelle de ce champ, mais celles de ce champ modifiées par les mouvements relatifs de la sonde de mesure ou de toutes autres interactions avec le milieu qui les captent et/ou les réfléchissent. En d’autres termes, on peut postulé que tout changement d’état d’une onde est tributaire d’une interaction avec de la matière baryonique.

Suivant ce principe, il n’est pas absurde de postuler que les signaux rayonnants (non réfléchis) que nous recevons de l’extérieur de notre référentiel sont porteurs de l’information réelle acquise l’hors de leur naissance -énergie et durée- mais que par le fait même de la mesurer nous détruisons. L’information subit instantanément, lors de sa mesure, transformant la valeur de l’onde native par celle « modifiée » par les aléas rencontrés durant son existence.  

Ici apparaît la notion, totalement occultée depuis de nombreuses années, qui est la différence fondamentale qui distingue la vitesse de la célérité, qui sont deux fonctions totalement différentes mais complémentaires.

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